Description
Publié en avril 1993, cet article met en lumière l’apport décisif des sciences dans l’étude et la préservation des œuvres d’art, à une époque où les techniques d’analyse physico-chimique deviennent incontournables pour authentifier, dater et restaurer les pièces. Il illustre comment des laboratoires spécialisés, tels celui de Gilles Perrault, associent microscopie, spectroscopie et autres méthodes de pointe pour révéler la composition des matériaux et déjouer les faux. Le texte insiste sur la complémentarité entre savoir scientifique et regard historien, montrant que la science n’efface pas la sensibilité esthétique mais renforce la fiabilité de l’expertise et la protection du patrimoine.
Auteurs
Alix Delalande
Date
1993/04/01
Media
L’Estampille L’objet d’art
n°
268